Septembre 2016 : la terrible rumeur

Jacques Chirac était hospitalisé à la Pitié Salpêtrière. © LIONEL URMAN/SIPA
A la fin du mois de septembre 2016, l'infection pulmonaire dont a été victime Jacques Chirac, son hospitalisation prolongée et quelques confidences alarmantes (lire plus avant) vont déboucher sur d'intenses spéculations. On apprend en outre que Jacques Chirac a été rapatrié d'urgence du Maroc, où il était en vacances, pour soigner cette infection. Le 21 septembre, la rumeur explose : Jacques Chirac serait mort. Une rumeur relayée notamment par le compte Twitter d'un journaliste puis par l'ancienne ministre Christine Boutin, qui va mettre tout le pays en émoi.

Un démenti cinglant

Dans un premiers temps, son proche entourage n'a pas donné de précisions sur l'évolution de l'état de santé de Jacques Chirac. Mais la famille de l'ancien chef de l'Etat devra sortir du silence pour démentir en catastrophe les rumeurs de son décès. Via deux communiqués AFP, les Chirac mettront fin à l'emballement et demanderont le respect de leur vie privée  autant que celle de l'ancien président.
A la fin du mois de septembre 2016, l'infection pulmonaire dont a été victime Jacques Chirac, son hospitalisation prolongée et quelques confidences alarmantes (lire plus avant) vont déboucher sur d'intenses spéculations. On apprend en outre que Jacques Chirac a été rapatrié d'urgence du Maroc, où il était en vacances, pour soigner cette infection. Le 21 septembre, la rumeur explose : Jacques Chirac serait mort. Une rumeur relayée notamment par le compte Twitter d'un journaliste puis par l'ancienne ministre Christine Boutin, qui va mettre tout le pays en émoi. Un démenti cinglant Dans un premiers temps, son proche entourage n'a pas donné de précisions sur l'évolution de l'état de santé de Jacques Chirac. Mais la famille de l'ancien chef de l'Etat devra sortir du silence pour démentir en catastrophe les rumeurs de son décès. Via deux communiqués AFP, les Chirac mettront fin à l'emballement et demanderont le respect de leur vie privée  autant que celle de l'ancien président.
© LIONEL URMAN/SIPA