L’IRSN : la protection nucléaire mal gérée

L'IRSN et l'ASN ont des relations difficiles © Pascal FERON / Galerie photo Linternaute.com
Le constat : Le risque nucléaire justifie-t-il une gestion contestable ? Fin 2014, la Cour des comptes a pointé du doigt la gestion de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Cet établissement public chargé de la recherche sur les dangers regroupe plus de 1 700 salariés (chercheurs, ingénieurs, administratifs). Coût : 250 millions d’euros de subventions annuelles.
Les pistes : Si les missions semblent assurées, la Cour pointe l’éparpillement des personnels sur 12 sites. Pire, l’IRSN et l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire, chargée des contrôles dans les centrales) se tirent dans les pattes. Si la rue Cambon ne propose pas de fusion, une meilleure collaboration est possible. D’autant que les ressources sont en baisse pour la première fois en 2014.
Le constat : Le risque nucléaire justifie-t-il une gestion contestable ? Fin 2014, la Cour des comptes a pointé du doigt la gestion de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Cet établissement public chargé de la recherche sur les dangers regroupe plus de 1 700 salariés (chercheurs, ingénieurs, administratifs). Coût : 250 millions d’euros de subventions annuelles. Les pistes : Si les missions semblent assurées, la Cour pointe l’éparpillement des personnels sur 12 sites. Pire, l’IRSN et l’ASN (Autorité de sûreté nucléaire, chargée des contrôles dans les centrales) se tirent dans les pattes. Si la rue Cambon ne propose pas de fusion, une meilleure collaboration est possible. D’autant que les ressources sont en baisse pour la première fois en 2014.
© Pascal FERON / Galerie photo Linternaute.com