"L'ogre des Ardennes", déjà condamné à perpétuité

La maison des Fourniret à Sart-Custinne (Belgique). Photo datant de 2004. © ISOPRESS SENEPARTIS / SIPA

Fin novembre 2019, Monique Olivier a donc raconté à la juge qu'elle était l'auteure du coup de téléphone-alibi, à la demande de son mari. Le fils s'était d'ailleurs étonné de cet appel, lui qui, né d'un premier mariage de Michel Fourniret, n'entretenait plus de relations avec son père depuis près de 20 ans.
Avant cet aveu de son ex-compagne, Michel Fourniret était déjà condamné à une peine de réclusion à perpétuité incompressible depuis 2008, par la cour d'assises de Charleville-Mézières, pour les meurtres de sept jeunes femmes ou adolescentes entre 1987 et 2001. Il a à nouveau été condamné en 2018, pour assassinat crapuleux. Il est aussi mis en examen pour les disparitions et la mort de Marie-Angèle Domece et Joanna Parrish, pour lesquelles il a avoué son implication devant la juge Sabine Khéris.

Fin novembre 2019, Monique Olivier a donc raconté à la juge qu'elle était l'auteure du coup de téléphone-alibi, à la demande de son mari. Le fils s'était d'ailleurs étonné de cet appel, lui qui, né d'un premier mariage de Michel Fourniret, n'entretenait plus de relations avec son père depuis près de 20 ans. Avant cet aveu de son ex-compagne, Michel Fourniret était déjà condamné à une peine de réclusion à perpétuité incompressible depuis 2008, par la cour d'assises de Charleville-Mézières, pour les meurtres de sept jeunes femmes ou adolescentes entre 1987 et 2001. Il a à nouveau été condamné en 2018, pour assassinat crapuleux. Il est aussi mis en examen pour les disparitions et la mort de Marie-Angèle Domece et Joanna Parrish, pour lesquelles il a avoué son implication devant la juge Sabine Khéris.
© ISOPRESS SENEPARTIS / SIPA