L'un des sujets de discorde est la lettre du Père Pestre datant de 1990 dans laquelle l'homme d'Eglise accusait les organisateurs de nombreux sévices sur le taureau en amont de la corrida. Était décrit que le taureau se voyait mettre de la "vaseline sur les yeux pour que sa vue soit diminuée" ou l'ajout de "coton qu'on lui enfonce dans les narines et qui descend jusque dans la gorge, cela pour que sa respiration soit plus difficile". La présidente de l'Alliance anti-corrida, Claire Starozinski, avait rapporté à 20 minutes qu'il ne fallait pas généraliser : "Même si le père Roger Pestre a vu ça, il y a une cinquantaine d'années dans un village reculé, il ne faut pas généraliser". André Viard, président de l'Observatoire national des cultures taurines s'est défendu de ces accusations, qui sont depuis partagées régulièrement sur les réseaux sociaux, en précisant que "ce sont des mensonges éhontés" et qu'il existe des contrôles ante et post-mortem.
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