... Et soyez curieux

© alphaspirit / stock adobe
"Les labels ISR c'est bien, mais ce n'est pas forcément explicite pour les investisseurs", regrette Thomas Abinal de Monetivia. "C'est utile, parce que ça renvoie à un cahier des charges précis, mais on ne sait plus trop ce qu'il y a dedans. Si je pouvais donner un conseil, ça serait de faire preuve de curiosité : certains investissements ne sont pas labellisés et ils sont pourtant vertueux". Renseignez-vous auprès de professionnels et multipliez les lectures afin d'obtenir un panorama clair des investissements qui répondent à vos critères de sens. "Aujourd'hui, on a des investisseurs intéressés car notre solution a plus de sens", note Thomas Abinal. L'entreprise met en relation des seniors propriétaires de leur résidence principale et des investisseurs immobiliers de long terme. "Nous nous sommes intéressés aux seniors qui avaient des enfants, pour lesquels la vente classique en viager n'est pas adaptée, car elle peut induire une perte en cas de mort prématurée du vendeur", explique-t-il. "L'autre frein majeur, c'est le côté moralement discutable du viager, qui constitue un pari sur le décès du senior. On a cherché une solution qui permet à une clientèle de seniors de monétiser leur patrimoine de manière sécurisée". 
"Les labels ISR c'est bien, mais ce n'est pas forcément explicite pour les investisseurs", regrette Thomas Abinal de Monetivia. "C'est utile, parce que ça renvoie à un cahier des charges précis, mais on ne sait plus trop ce qu'il y a dedans. Si je pouvais donner un conseil, ça serait de faire preuve de curiosité : certains investissements ne sont pas labellisés et ils sont pourtant vertueux". Renseignez-vous auprès de professionnels et multipliez les lectures afin d'obtenir un panorama clair des investissements qui répondent à vos critères de sens. "Aujourd'hui, on a des investisseurs intéressés car notre solution a plus de sens", note Thomas Abinal. L'entreprise met en relation des seniors propriétaires de leur résidence principale et des investisseurs immobiliers de long terme. "Nous nous sommes intéressés aux seniors qui avaient des enfants, pour lesquels la vente classique en viager n'est pas adaptée, car elle peut induire une perte en cas de mort prématurée du vendeur", explique-t-il. "L'autre frein majeur, c'est le côté moralement discutable du viager, qui constitue un pari sur le décès du senior. On a cherché une solution qui permet à une clientèle de seniors de monétiser leur patrimoine de manière sécurisée". 
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