La suppression des régimes spéciaux, mais lesquels ?

© ISA HARSIN/SIPA
On dénombre une vingtaine de régimes spéciaux et autonomes en France. Cheminots de la SNCF, conducteurs de la RATP, employés des IEG… Ils font l'objet de vives. Ils permettent à leurs pensionnés de partir à la retraite souvent plus tôt que dans le régime général, au titre de la pénibilité des métiers. Le montant de la pension y est également plus élevé, si l'on en croit les chiffres de la Cour des comptes.

La pension brute moyenne pour une carrière complète s'élève à 2 636€/mois en 2017 à la SNCF et 3 705 euros à la RATP, "supérieur de 24 % à celui des anciens salariés du secteur privé des transports", peut-on lire dans un rapport de 2019. Les chiffres sont à prendre avec précaution, puisqu'il s'agit de moyennes, qui ne reflètent pas la diversité, la complexité des parcours individuels et ne détaille pas le mode de calcul très variable d'une caisse à l'autre. Consultez notre dossier pour en savoir plus : Régimes spéciaux et autonomes : à quoi ont vraiment droit aujourd'hui leurs bénéficiaires ?
On dénombre une vingtaine de régimes spéciaux et autonomes en France. Cheminots de la SNCF, conducteurs de la RATP, employés des IEG… Ils font l'objet de vives. Ils permettent à leurs pensionnés de partir à la retraite souvent plus tôt que dans le régime général, au titre de la pénibilité des métiers. Le montant de la pension y est également plus élevé, si l'on en croit les chiffres de la Cour des comptes. La pension brute moyenne pour une carrière complète s'élève à 2 636€/mois en 2017 à la SNCF et 3 705 euros à la RATP, "supérieur de 24 % à celui des anciens salariés du secteur privé des transports", peut-on lire dans un rapport de 2019. Les chiffres sont à prendre avec précaution, puisqu'il s'agit de moyennes, qui ne reflètent pas la diversité, la complexité des parcours individuels et ne détaille pas le mode de calcul très variable d'une caisse à l'autre. Consultez notre dossier pour en savoir plus : Régimes spéciaux et autonomes : à quoi ont vraiment droit aujourd'hui leurs bénéficiaires ?
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