Seront-ils poussés à verbaliser le plus possible ?

Le flash va-t-il chauffer dans les voitures radars dès 2018 ? © Serge Pouzet/Sipa
Les chauffeurs pourraient-ils être incités à verbaliser le plus possible pour conserver leur emploi, voire toucher une prime ? L'Etat assure que non mais les associations d'automobilistes s'alarment. "La privatisation des radars sous-entend que des sociétés privées vont toucher un forfait, expliquait en septembre à BFM TV Pierre Chasseray, délégué général de 40 Millions d'automobilistes. C'est-à-dire qu'elles ne vont pas toucher la totalité de l'argent qui provient des radars. Mais nul n'est dupe et tout le monde a bien compris que les sociétés vont chercher à faire un maximum de rentabilité pour être sûres de renégocier à la hausse leurs contrats dans les années à venir. Plus personne ne pourra nous dire par la dire que les radars sont là pour la sécurité. Non, ils sont aux mains des sociétés privées donc ils sont là pour l'argent".
Les chauffeurs pourraient-ils être incités à verbaliser le plus possible pour conserver leur emploi, voire toucher une prime ? L'Etat assure que non mais les associations d'automobilistes s'alarment. "La privatisation des radars sous-entend que des sociétés privées vont toucher un forfait, expliquait en septembre à BFM TV Pierre Chasseray, délégué général de 40 Millions d'automobilistes. C'est-à-dire qu'elles ne vont pas toucher la totalité de l'argent qui provient des radars. Mais nul n'est dupe et tout le monde a bien compris que les sociétés vont chercher à faire un maximum de rentabilité pour être sûres de renégocier à la hausse leurs contrats dans les années à venir. Plus personne ne pourra nous dire par la dire que les radars sont là pour la sécurité. Non, ils sont aux mains des sociétés privées donc ils sont là pour l'argent".
© Serge Pouzet/Sipa