Le pneu à gonflage automatique

Goodyear teste un pneu à regonflage automatique. © Goodyear
Depuis le 1er novembre dernier, tous les véhicules neufs vendus en Europe doivent être équipés d’un capteur TPMS (Tyre Pressure Monitoring System), c’est-à-dire d’un système de détection du sous-gonflage des pneus. Mais être averti signifie-t-il qu’on va rapidement s’arrêter à une station-service pour refaire la pression ? Il faudrait, pour limiter les risques d’usure prématurée, de surconsommation et d’accident. Car avec des pneus mal gonflés, on augmente la distance de freinage et on multiplie les risques d’aquaplaning et d’éclatement. Si on ne peut le faire, Goodyear a la solution : le pneu à regonflage automatique, via sa technologie AMT (Air Maintenance Technology) qui utilise une pompe péristaltique, où un tube compressé par des galets aspire de l’air pour redonner de la pression à l’enveloppe pneumatique. Des tests grandeur nature sur une flotte de poids lourds sont actuellement en cours aux Etats-Unis et au Canada.
Depuis le 1er novembre dernier, tous les véhicules neufs vendus en Europe doivent être équipés d’un capteur TPMS (Tyre Pressure Monitoring System), c’est-à-dire d’un système de détection du sous-gonflage des pneus. Mais être averti signifie-t-il qu’on va rapidement s’arrêter à une station-service pour refaire la pression ? Il faudrait, pour limiter les risques d’usure prématurée, de surconsommation et d’accident. Car avec des pneus mal gonflés, on augmente la distance de freinage et on multiplie les risques d’aquaplaning et d’éclatement. Si on ne peut le faire, Goodyear a la solution : le pneu à regonflage automatique, via sa technologie AMT (Air Maintenance Technology) qui utilise une pompe péristaltique, où un tube compressé par des galets aspire de l’air pour redonner de la pression à l’enveloppe pneumatique. Des tests grandeur nature sur une flotte de poids lourds sont actuellement en cours aux Etats-Unis et au Canada.
© Goodyear