Les systèmes de détection évoluée des piétons

Les piétons "invisibles" (cachés derrière un véhicule par exemple) seront détectables. © TUM
De plus en plus de modèles, même de petites citadines, sont équipés d’un système de freinage semi-automatique à basse vitesse, pour éviter les collisions en ville avec autres voitures, mais aussi les piétons et les cyclistes. Basé sur une caméra et des radars, il se contente de détecter des objets et des personnes déjà visibles par le conducteur. L’intérêt des systèmes de détection évolué des piétons sur lesquels planchent de nombreux constructeurs et équipementier sera de permettre d’identifier des piétons "invisibles", comme ceux cachés derrière une voiture ou ceux qui sont encore trop loin, dans l’obscurité. Pour cela, des capteurs infrarouge, sensibles à la chaleur voire même des émetteurs radio communiquant avec le smartphone ou les habits d’un piétons pourraient compléter les dispositifs habituels. Volvo, Daimler, BMW, Continental ou bien encore les universités TUM (Allemagne) et Carlos III (Espagne) planchent activement sur le sujet.
De plus en plus de modèles, même de petites citadines, sont équipés d’un système de freinage semi-automatique à basse vitesse, pour éviter les collisions en ville avec autres voitures, mais aussi les piétons et les cyclistes. Basé sur une caméra et des radars, il se contente de détecter des objets et des personnes déjà visibles par le conducteur. L’intérêt des systèmes de détection évolué des piétons sur lesquels planchent de nombreux constructeurs et équipementier sera de permettre d’identifier des piétons "invisibles", comme ceux cachés derrière une voiture ou ceux qui sont encore trop loin, dans l’obscurité. Pour cela, des capteurs infrarouge, sensibles à la chaleur voire même des émetteurs radio communiquant avec le smartphone ou les habits d’un piétons pourraient compléter les dispositifs habituels. Volvo, Daimler, BMW, Continental ou bien encore les universités TUM (Allemagne) et Carlos III (Espagne) planchent activement sur le sujet.
© TUM