Il a eu la révélation en regardant Danny Kaye

Danny Kaye © REX FEATURES/SIPA
À la libération après la guerre, ses parents l'envoient en pension à Valenciennes. Ce qui aurait pu être une prison pour bon nombres d'enfants, est vécu comme des années de grande liberté pour le comédien en devenir. Pourtant, même si il s'y plait, Pierre Richard s'en échappe dès qu'il en a l'occasion. Aujourd'hui il parle avec humour de ses années de jeunesse. Il explique que c'est grâce à cela qu'il a eu la révélation de sa vie, celle qui allait déterminer le reste de sa vie: "Je suis devenu très fort en école buissonnière. À 16 ans, lors de l'une de ces escapades, je vais voir au cinéma "Un fou s'en va-t-en guerre" avec Danny Kaye. Ça a été une révélation. Danny savait danser, chanter, jouer, faire rire, le tout avec une rapidité époustouflante. C'était ce que je voulais faire."
À la libération après la guerre, ses parents l'envoient en pension à Valenciennes. Ce qui aurait pu être une prison pour bon nombres d'enfants, est vécu comme des années de grande liberté pour le comédien en devenir. Pourtant, même si il s'y plait, Pierre Richard s'en échappe dès qu'il en a l'occasion. Aujourd'hui il parle avec humour de ses années de jeunesse. Il explique que c'est grâce à cela qu'il a eu la révélation de sa vie, celle qui allait déterminer le reste de sa vie: "Je suis devenu très fort en école buissonnière. À 16 ans, lors de l'une de ces escapades, je vais voir au cinéma "Un fou s'en va-t-en guerre" avec Danny Kaye. Ça a été une révélation. Danny savait danser, chanter, jouer, faire rire, le tout avec une rapidité époustouflante. C'était ce que je voulais faire."
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