Déchéance de la fleur du mal

Charles Baudelaire © Poche

Chef de file du courant symbolique, Charles Baudelaire se démarque des poètes de son temps en rompant catégoriquement avec les figures classiques de la poésie. 

D'abord critique d'art puis journaliste, l'artiste s'endette rapidement et mène une vie pour le moins dissolue. C'est à cette même période qu'il goûte pour la première fois ce qui deviendra un stimulateur d'inspiration, à savoir les "paradis artificiels". Personnification du mal-être et figure de l'artiste maudit, Baudelaire finit sa vie aphasique et plus déprimé que jamais.

Quand on pense à Baudelaire, on pense nécessairement aux Fleurs du mal, aux Paradis artificiels, au Poème du haschisch, au Spleen de Paris, mais également aux critiques des différents Salons.

Toutes les œuvres du poètes suintent la mélancolie, voire la dépression, et instaurent un malaise inévitable chez n'importe quel lecteur. Cependant, il faut reconnaître que le génie créatif et la beauté des vers ne brillent que par l'omniprésence de cette douce morosité.


Chef de file du courant symbolique, Charles Baudelaire se démarque des poètes de son temps en rompant catégoriquement avec les figures classiques de la poésie.  D'abord critique d'art puis journaliste, l'artiste s'endette rapidement et mène une vie pour le moins dissolue. C'est à cette même période qu'il goûte pour la première fois ce qui deviendra un stimulateur d'inspiration, à savoir les "paradis artificiels". Personnification du mal-être et figure de l'artiste maudit, Baudelaire finit sa vie aphasique et plus déprimé que jamais. Quand on pense à Baudelaire, on pense nécessairement aux Fleurs du mal, aux Paradis artificiels, au Poème du haschisch, au Spleen de Paris, mais également aux critiques des différents Salons. Toutes les œuvres du poètes suintent la mélancolie, voire la dépression, et instaurent un malaise inévitable chez n'importe quel lecteur. Cependant, il faut reconnaître que le génie créatif et la beauté des vers ne brillent que par l'omniprésence de cette douce morosité.
© Poche