"Les Fleurs du Mal" de Baudelaire

Les Fleurs du Mal de Baudelaire © C. Devilo - Fotolia

Le Mal comme Romantisme

Baudelaire hésita entre plusieurs titres pour son unique recueil. Il cherchait une manière d'évoquer les 7 péchés capitaux. Le recueil porta donc un temps le nom "Les Lesbiennes".

Dans le sillage de Lord Byron et des premiers Romantiques, il fait de Lucifer le plus merveilleux de tous les anges. Inversant les valeurs courantes, il insuffle passion et ivresse à ce que la morale de l'époque réprouve.

Sartre disait à propos de l'attitude de Baudelaire : "Il y a dans ses actes et ceux du coupable vulgaire la différence qui sépare les messes noires de l'athéisme. L'athée ne se soucie pas de Dieu (...) mais le prêtre des messes noire hait Dieu parce qu'Il est aimable, le bafoue parce qu'Il est respectable, (...) il met sa volonté à nier l'ordre établi, mais, en même temps, il conserve cet ordre."
Le Mal comme Romantisme Baudelaire hésita entre plusieurs titres pour son unique recueil. Il cherchait une manière d'évoquer les 7 péchés capitaux. Le recueil porta donc un temps le nom "Les Lesbiennes". Dans le sillage de Lord Byron et des premiers Romantiques, il fait de Lucifer le plus merveilleux de tous les anges. Inversant les valeurs courantes, il insuffle passion et ivresse à ce que la morale de l'époque réprouve. Sartre disait à propos de l'attitude de Baudelaire : "Il y a dans ses actes et ceux du coupable vulgaire la différence qui sépare les messes noires de l'athéisme. L'athée ne se soucie pas de Dieu (...) mais le prêtre des messes noire hait Dieu parce qu'Il est aimable, le bafoue parce qu'Il est respectable, (...) il met sa volonté à nier l'ordre établi, mais, en même temps, il conserve cet ordre."
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