La plus célèbre traboule de la Croix-Rousse

L'entrée de la cour des Voraces se situe au niveau du 9 place Colbert. Il s'agit de la plus célèbre des traboules de la Croix -Rousse. © L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars

En sortant de la Maison des Canuts, prenez la deuxième à droite et descendez la rue Célu.  Au n° 13, se trouve une des loges maçonniques des canuts datant de 1884. Au bout de la rue, admirez le Gros Caillou sur la place Bellevue,  témoin de l'époque glacière et dirigez-vous vers le Fort Saint-Laurent pour avoir une vue sur Lyon et le parc de la Tête d'Or. Enfin, dirigez-vous rue Bodin et descendez jusqu'à la place Colbert.

Traboulez dans la Cour des Voraces

 Pénétrez au n°9 de la place Colbert et admirez la Cour des Voraces ou Maison de la République. Son immense escalier de façade de six étages constitue une des plus pittoresques traboules de Lyon. Elle fut le théâtre du rassemblement des canuts révoltés de 1831 et de 1848. En empruntant cette traboule,  vous arriverez au 14 bis montée Saint-Sébastien.

 Descendez jusqu'à la rue Imbert Colomès et empruntez là jusqu'à la montée de la Grande Côte.

En sortant de la Maison des Canuts, prenez la deuxième à droite et descendez la rue Célu.  Au n° 13, se trouve une des loges maçonniques des canuts datant de 1884. Au bout de la rue, admirez le Gros Caillou sur la place Bellevue,  témoin de l'époque glacière et dirigez-vous vers le Fort Saint-Laurent pour avoir une vue sur Lyon et le parc de la Tête d'Or. Enfin, dirigez-vous rue Bodin et descendez jusqu'à la place Colbert. Traboulez dans la Cour des Voraces  Pénétrez au n°9 de la place Colbert et admirez la Cour des Voraces ou Maison de la République. Son immense escalier de façade de six étages constitue une des plus pittoresques traboules de Lyon. Elle fut le théâtre du rassemblement des canuts révoltés de 1831 et de 1848. En empruntant cette traboule,  vous arriverez au 14 bis montée Saint-Sébastien.  Descendez jusqu'à la rue Imbert Colomès et empruntez là jusqu'à la montée de la Grande Côte.
© L'Internaute Magazine / Laetitia Devillars