Avant d'être cuisinier, il voulait être gendarme

Glenn Viel aurait pu devenir gendarme, sur les traces de son père. © Christophe Ena/AP/SIPA
Le chef étoilé aurait pu connaître une toute autre vie. Jeune, il envisageait une carrière dans la gendarmerie, sur les traces de son paternel, qui était militaire. "Si je suis né à Versailles, c'est parce que mon père, gendarme, y a été muté", explique Glenn Viel au Télégramme. "Mais comme j'étais dyslexique - et je le suis toujours - et qu'il y avait une dictée pour entrer dans la gendarmerie, j'ai opté pour la cuisine. Ce qui m'a donné le goût de la cuisine, c'est la gourmandise et mon amour de la nourriture. J'avais un bon coup de fourchette, d'autant que ma grand-mère et mon père cuisinaient très bien". Il décide alors de prendre le chemin de la restauration. Avec un Bac pro en poche effectué au lycée Sainte-Catherine du Mans, il fait ses premiers pas dans le milieu en effectuant un stage chez Joël Boillaud, chef de l'Hostellerie du Nord à Auvers-sur-Oise, qui le recommande au Meurice de Marc Marchand, en 2000 à Paris.
Le chef étoilé aurait pu connaître une toute autre vie. Jeune, il envisageait une carrière dans la gendarmerie, sur les traces de son paternel, qui était militaire. "Si je suis né à Versailles, c'est parce que mon père, gendarme, y a été muté", explique Glenn Viel au Télégramme. "Mais comme j'étais dyslexique - et je le suis toujours - et qu'il y avait une dictée pour entrer dans la gendarmerie, j'ai opté pour la cuisine. Ce qui m'a donné le goût de la cuisine, c'est la gourmandise et mon amour de la nourriture. J'avais un bon coup de fourchette, d'autant que ma grand-mère et mon père cuisinaient très bien". Il décide alors de prendre le chemin de la restauration. Avec un Bac pro en poche effectué au lycée Sainte-Catherine du Mans, il fait ses premiers pas dans le milieu en effectuant un stage chez Joël Boillaud, chef de l'Hostellerie du Nord à Auvers-sur-Oise, qui le recommande au Meurice de Marc Marchand, en 2000 à Paris.
© Christophe Ena/AP/SIPA