Graham Hill écume les pubs

Graham Hill allait dans les pubs pour nouer des contacts avec les pilotes. © benjamin wahiche - Fotolia.com

Issu d'une famille modeste et peu attirée par le monde automobile (son père ne possédait pas le permis), Graham Hill n'était pas prédisposé à devenir le double champion du monde de Formule 1 qu'il sera dans les années 60.

Après avoir effectué quelques tours de piste, en 1953, Graham Hill découvre l'adrénaline du bitume. Ses maigres économies, celles provenant de ses allocations de chômeur notamment, il les utilise pour passer le permis et s'offrir une voiture.

Ne reste plus qu'à intégrer le cercle fermé des pilotes et des constructeurs... Sans le sou mais rusé, Graham Hill se rend tous les week-ends dans le pub Steering Wheel Club, repère des stars de l'époque à Londres.

De pintes en pintes, le Britannique tisse une longue liste de contacts. Grâce à un ami commun, il approche le fondateur de l'écurie Lotus, Colin Chapman. Ses efforts payent, il devient rapidement mécanicien puis pilote.

Issu d'une famille modeste et peu attirée par le monde automobile (son père ne possédait pas le permis), Graham Hill n'était pas prédisposé à devenir le double champion du monde de Formule 1 qu'il sera dans les années 60. Après avoir effectué quelques tours de piste, en 1953, Graham Hill découvre l'adrénaline du bitume. Ses maigres économies, celles provenant de ses allocations de chômeur notamment, il les utilise pour passer le permis et s'offrir une voiture. Ne reste plus qu'à intégrer le cercle fermé des pilotes et des constructeurs... Sans le sou mais rusé, Graham Hill se rend tous les week-ends dans le pub Steering Wheel Club, repère des stars de l'époque à Londres. De pintes en pintes, le Britannique tisse une longue liste de contacts. Grâce à un ami commun, il approche le fondateur de l'écurie Lotus, Colin Chapman. Ses efforts payent, il devient rapidement mécanicien puis pilote.
© benjamin wahiche - Fotolia.com