Provocations, déstabilisations et intimidations

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Intox, provoc' et déstabilisation : guerre des nerfs entre sportifs
Mickaël Landreau a joué un vilain tour à Ronaldinho. © Thierry Plessis

Pour gagner un match, le talent ne suffit parfois pas : un brin de provocation et une touche de malice peuvent faire basculer l'issue d'une partie. Voici quelques coups de bluff qui ont fonctionné... ou pas.

Mickaël Landreau et le penalty de Ronaldinho

Au cours de sa carrière pro, l'actuel gardien du LOSC a arrêté 34 penaltys sur les 77 auxquels il a été confronté. Cette statistique montre à quel point Landreau brille dans cet exercice.

En 2002, celui qui est encore gardien du FC Nantes offre aux siens le qualification pour les 8e de finale de la Coupe de la Ligue. Au Parc des Princes, alors que les Canaris mènent d'un but seulement, l'arbitre accorde un penalty aux Parisiens à la 82e minute de jeu. Ronaldinho, le jeune meneur du PSG, a la balle de l'égalisation au bout du pied.

Pour déconcentrer le tireur, Mickaël Landreau se positionne sur le côté droit de son but et non au milieu. Au moment où le Brésilien s'avance pour tirer, le Nantais fait mine de revenir au centre pour pouvoir se jeter sur la gauche. Sauf qu'il revient vers sa position initiale, plongeant à droite et stoppant le tir du futur Ballon d'or.

Pour gagner un match, le talent ne suffit parfois pas : un brin de provocation et une touche de malice peuvent faire basculer l'issue d'une partie. Voici quelques coups de bluff qui ont fonctionné... ou pas.Mickaël Landreau et le penalty de Ronaldinho Au cours de sa carrière pro, l'actuel gardien du LOSC a arrêté 34 penaltys sur les 77 auxquels il a été confronté. Cette statistique montre à quel point Landreau brille dans cet exercice. En 2002, celui qui est encore gardien du FC Nantes offre aux siens le qualification pour les 8e de finale de la Coupe de la Ligue. Au Parc des Princes, alors que les Canaris mènent d'un but seulement, l'arbitre accorde un penalty aux Parisiens à la 82e minute de jeu. Ronaldinho, le jeune meneur du PSG, a la balle de l'égalisation au bout du pied. Pour déconcentrer le tireur, Mickaël Landreau se positionne sur le côté droit de son but et non au milieu. Au moment où le Brésilien s'avance pour tirer, le Nantais fait mine de revenir au centre pour pouvoir se jeter sur la gauche. Sauf qu'il revient vers sa position initiale, plongeant à droite et stoppant le tir du futur Ballon d'or.
© Thierry Plessis