Kool Shen : le hip hop plutôt que le foot

Kool Shen en short et en maillot à l'occasion du jubilé de Luis Fernandez. © Jacqueline Joly - Galerie photo

Le rappeur de NTM a aussi failli embrasser la carrière de footballeur. Dès son plus jeune âge, Kool Shen veut suivre les traces de son père et de son grand frère, tous les deux bons joueurs amateurs.

Il commence par jouer enfant dans le club de Pierrefitte, en Seine-Saint-Denis. Vif et technique, il est vite remarqué par le Racing de Colombes. Il part y jouer en cadet nationaux et fait ses quatre entrainements par semaine.

Il refuse le RC Lens

A 14 ans, il a la possibilité de signer pour le centre de formation du RC Lens. Il hésite à partir loin de chez lui et de sa famille, surtout qu'il se découvre une nouvelle passion, le hip hop. C'est en effet à cette époque qu'il commence à danser, à graffer et à rapper avec ses amis dont un certain Joey Starr.

Au grand dam de sa famille et surtout de son père, Kool Shen privilégie donc le rap au football. Il reste aujourd'hui un véritable mordu de ballon, regardant tous les matchs, même la 2e division.

Le rappeur de NTM a aussi failli embrasser la carrière de footballeur. Dès son plus jeune âge, Kool Shen veut suivre les traces de son père et de son grand frère, tous les deux bons joueurs amateurs. Il commence par jouer enfant dans le club de Pierrefitte, en Seine-Saint-Denis. Vif et technique, il est vite remarqué par le Racing de Colombes. Il part y jouer en cadet nationaux et fait ses quatre entrainements par semaine. Il refuse le RC Lens A 14 ans, il a la possibilité de signer pour le centre de formation du RC Lens. Il hésite à partir loin de chez lui et de sa famille, surtout qu'il se découvre une nouvelle passion, le hip hop. C'est en effet à cette époque qu'il commence à danser, à graffer et à rapper avec ses amis dont un certain Joey Starr. Au grand dam de sa famille et surtout de son père, Kool Shen privilégie donc le rap au football. Il reste aujourd'hui un véritable mordu de ballon, regardant tous les matchs, même la 2e division.
© Jacqueline Joly - Galerie photo