Un régulateur naturel de population

Un marcassin. © hitman1234 / stock.adobe.com
Le ver du poumon se révèle en fait être un redoutable régulateur de la population des sangliers. Voyez plutôt :
"Cependant, l'affaiblissement de leurs voies respiratoires rend les sangliers plus sujets à toutes sortes d'autres maladies, et chez les marcassins en particulier, cela se traduit par une mortalité sensiblement accrue. Plus la population de sangliers est importante, plus les vers de terre sont nombreux à être porteurs des larves, ce qui provoque à son tour un taux supérieur d'infection chez les sangliers. Le balancier s'élève ainsi toujours plus haut, jusqu'à ce que la population finisse par s'effondrer. Moins de sangliers = moins d'œufs excrétés = de rares vers de terre infectés. Le ver du poumon est donc l'un des régulateurs des effectifs de sangliers (...)".
Le ver du poumon se révèle en fait être un redoutable régulateur de la population des sangliers. Voyez plutôt : "Cependant, l'affaiblissement de leurs voies respiratoires rend les sangliers plus sujets à toutes sortes d'autres maladies, et chez les marcassins en particulier, cela se traduit par une mortalité sensiblement accrue. Plus la population de sangliers est importante, plus les vers de terre sont nombreux à être porteurs des larves, ce qui provoque à son tour un taux supérieur d'infection chez les sangliers. Le balancier s'élève ainsi toujours plus haut, jusqu'à ce que la population finisse par s'effondrer. Moins de sangliers = moins d'œufs excrétés = de rares vers de terre infectés. Le ver du poumon est donc l'un des régulateurs des effectifs de sangliers (...)".
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