Valérie Trierweiler : elle pourrait "pardonner" selon le Parisien
L'Elysée confirme : Valérie Trierweiler a bien eu un "gros coup de blues" après les révélations de Closer sur l'infidélité de François Hollande. Hospitalisée, la Première dame focalise l'attention depuis. Parmi les questions : va-t-elle pouvoir rester à l'Elysée si elle ne reste pas, de fait, la compagne du chef de l'Etat ? Le Parisien, qui a révélé l'hospitalisation dimanche 12 janvier et a récolté les témoignages de "proches", affirme qu'une autre issue est possible. Selon le quotidien, Valérie Trierweiler serait prête en effet à "pardonner" à François Hollande cette trahison.
C'est le président de la République lui-même qui aurait été contraint d'informer Valérie Trierweiler de l'article en préparation sur la rumeur Julie Gayet dès le jeudi 10 janvier, soit la veille de la publication par Closer de photographies compromettantes. C'est cette explication intime qui aurait provoqué l'admission de la Première dame à l'hôpital pour une "cure de sommeil" de dix jours. Selon le proche interrogé, Valérie Trierweiler connaissait les rumeurs sur Julie Gayet, mais semblait certaine que celles-ci étaient "fausses".
Valérie Trierweiler, qui garde le silence jusqu'à présent, "ne veut pas claquer la porte sur un coup de tête", selon les révélations du quotidien francilien. En revanche, elle attend de François Hollande qu'il précise ses "intentions". François Hollande et Valérie Trierweiler se seraient donné "quelques jours de réflexion". A l'Elysée, où les ennemis de la première dame seraient nombreux, la thèse d'un "chantage affectif" a déjà été avancée.
EN VIDÉO - La compagne du président français, était hospitalisée depuis vendredi après les révélations, la veille, sur la liaison supposée du chef de l'Etat avec l'actrice Julie Gayet.