Balkani-Devedjian

Patrick Devedjian et Patrick Balkany © Montage L'Internaute Magazine

Patrick Devedjian a eu un temps un rival violent à l'UMP : Christian Estrosi. Mais ce n'est rien comparé à la haine qui le lie au clan Balkany dans les Hauts-de-Seine. Patrick, député-maire de Levallois-Perret, et sa femme Isabelle, vice-présidente du Conseil général, n'ont jamais accepté que Devedjian hérite du département dirigé jusqu'en 2007 par leur ami, Nicolas Sarkozy. Selon les confidences de la presse, pas une réunion n'aurait lieu sans que les deux clans s'écharpent sur l'avenir de ce fief sarkozyste.

En juin 2008, les Balkany trouvent l'arme idéale contre l'indésirable Devedjian : Jean Sarkozy, le fils du chef de l'Etat lui-même, élu aux cantonales en mars, prend la tête des élus UMP-Nouveau centre du département. Piqué au vif, Devedjian riposte le mois suivant. Dans une interview il se donne la mission de "nettoyer les écuries d'Augias" et de redonner au département "une bonne réputation", faisant référence aux affaires dans lesquelles les Balkany seraient impliqués. "S'il cherche un clash, il va le trouver", rétorque Isabelle Balkany, "scandalisée". La candidature de Jean Sarkozy à l'Epad en 2009, les défaites d'Isabelle Balkany aux cantonales et sénatoriales de 2011 et enfin un livre assassin d'une collaboratrice de Devedjian sont depuis passés par là. Et Devedjian de se maintenir dans les Hauts-de-Seine, malgré l'animosité des sarkozystes.

Patrick Devedjian a eu un temps un rival violent à l'UMP : Christian Estrosi. Mais ce n'est rien comparé à la haine qui le lie au clan Balkany dans les Hauts-de-Seine. Patrick, député-maire de Levallois-Perret, et sa femme Isabelle, vice-présidente du Conseil général, n'ont jamais accepté que Devedjian hérite du département dirigé jusqu'en 2007 par leur ami, Nicolas Sarkozy. Selon les confidences de la presse, pas une réunion n'aurait lieu sans que les deux clans s'écharpent sur l'avenir de ce fief sarkozyste.En juin 2008, les Balkany trouvent l'arme idéale contre l'indésirable Devedjian : Jean Sarkozy, le fils du chef de l'Etat lui-même, élu aux cantonales en mars, prend la tête des élus UMP-Nouveau centre du département. Piqué au vif, Devedjian riposte le mois suivant. Dans une interview il se donne la mission de "nettoyer les écuries d'Augias" et de redonner au département "une bonne réputation", faisant référence aux affaires dans lesquelles les Balkany seraient impliqués. "S'il cherche un clash, il va le trouver", rétorque Isabelle Balkany, "scandalisée". La candidature de Jean Sarkozy à l'Epad en 2009, les défaites d'Isabelle Balkany aux cantonales et sénatoriales de 2011 et enfin un livre assassin d'une collaboratrice de Devedjian sont depuis passés par là. Et Devedjian de se maintenir dans les Hauts-de-Seine, malgré l'animosité des sarkozystes.
© Montage L'Internaute Magazine