La passion du voyage lui est venue par les reportages

Eric Tabarly et Nicolas Hulot sur le Pen Duick VI, le 25 mai 1976. © HULOT / SIPA
Difficile d'imaginer Nicolas Hulot autrement que parcourant le globe. Et pourtant, il n'a pas toujours autant voyagé. C'est en devenant photoreporter pour l'agence Sipa que le virus l'a piqué, comme il l'a détaillé à l'Express : "Un jour, je suis allé faire un sujet sur Tabarly au Cap. Là, j'ai eu un choc et je suis tombé amoureux de l'Afrique australe. J'ai réalisé des photos sur l'apartheid dans les townships et je suis parti à la découverte de la Rhodésie." Il s'avoue technicien moyen mais pense que sa candeur lui a ouvert des portes. "J'ai même réalisé un scoop pour Paris Match en interviewant Ian Smith, président de la Rhodésie... Du coup, j'ai passé des mois dans ces régions incroyables. C'est là que j'ai contracté la passion de l'aventure."
Difficile d'imaginer Nicolas Hulot autrement que parcourant le globe. Et pourtant, il n'a pas toujours autant voyagé. C'est en devenant photoreporter pour l'agence Sipa que le virus l'a piqué, comme il l'a détaillé à l'Express : "Un jour, je suis allé faire un sujet sur Tabarly au Cap. Là, j'ai eu un choc et je suis tombé amoureux de l'Afrique australe. J'ai réalisé des photos sur l'apartheid dans les townships et je suis parti à la découverte de la Rhodésie." Il s'avoue technicien moyen mais pense que sa candeur lui a ouvert des portes. "J'ai même réalisé un scoop pour Paris Match en interviewant Ian Smith, président de la Rhodésie... Du coup, j'ai passé des mois dans ces régions incroyables. C'est là que j'ai contracté la passion de l'aventure."
© HULOT / SIPA