Des passions rebelles...

Jacques Chirac à 14 ans. © AFP
Dans un extrait publié par Le Figaro, l'auteur d' "Ici, c'est Chirac" raconte que quand il essaie de faire reconnaître à l'ancien président son côté "précocement rebelle" de transgression de l'ordre familial, ce dernier commence par minimiser : "Il ne faut rien exagérer...". Jacques Chirac avait pourtant pour meilleur ami d'enfance le fils d'un ouvrier communiste italien, et il s'est aussi initié "seul, en dehors de toute scolarité", rappelle Jean-Luc Barré, à la poésie et à la peinture. Adolescent, Chirac s'est aussi tourné vers "des formes de culture jugées, encore à l'époque, secondaires et marginales", les arts asiatiques et africains. Une passion développée "toujours de son propre chef et à l'insu de ses parents", note l'historien. "Chichi" approuve d'ailleurs tout de go quand son interlocuteur d'écriture lui dit qu'il n'est "sans doute occidental que par le hasard de la naissance".
Dans un extrait publié par Le Figaro, l'auteur d' "Ici, c'est Chirac" raconte que quand il essaie de faire reconnaître à l'ancien président son côté "précocement rebelle" de transgression de l'ordre familial, ce dernier commence par minimiser : "Il ne faut rien exagérer...". Jacques Chirac avait pourtant pour meilleur ami d'enfance le fils d'un ouvrier communiste italien, et il s'est aussi initié "seul, en dehors de toute scolarité", rappelle Jean-Luc Barré, à la poésie et à la peinture. Adolescent, Chirac s'est aussi tourné vers "des formes de culture jugées, encore à l'époque, secondaires et marginales", les arts asiatiques et africains. Une passion développée "toujours de son propre chef et à l'insu de ses parents", note l'historien. "Chichi" approuve d'ailleurs tout de go quand son interlocuteur d'écriture lui dit qu'il n'est "sans doute occidental que par le hasard de la naissance".
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