Réduire au maximum les expositions professionnelles à des substances cancérigènes

Plus de 2 millions de Français sont exposés à un agent cancérigène au travail. © Andrey Guryanov / 123RF
Les expositions professionnelles à des substances cancérigènes correspondent au plus grand facteur externe de risque de cancer après le tabac, l'alcool et une alimentation déséquilibrée. On estime que 4,5 à 8 % des cancers sont liés au travail, décrypte l'Inca, autrement dit à une exposition à des agents cancérigènes en milieu professionnel. Selon la dernière enquête sur la surveillance médicale des expositions aux risques professionnels (Sumer 2010), 10 % de l'ensemble des salariés en France – soit près de 2,2 millions de personnes – sont exposés à au moins un agent cancérigène (particules Diesel, poussière de bois, silice, arsenic... ) par le biais de leur activité professionnelle. Plombier, agriculteur, ouvrier du BTP, radiologue, mais aussi employés de pressing... 84 % des salariés exposés sont des hommes, souvent jeunes, dont près d'un sur deux (47 %) est ouvrier.
Les expositions professionnelles à des substances cancérigènes correspondent au plus grand facteur externe de risque de cancer après le tabac, l'alcool et une alimentation déséquilibrée. On estime que 4,5 à 8 % des cancers sont liés au travail, décrypte l'Inca, autrement dit à une exposition à des agents cancérigènes en milieu professionnel. Selon la dernière enquête sur la surveillance médicale des expositions aux risques professionnels (Sumer 2010), 10 % de l'ensemble des salariés en France – soit près de 2,2 millions de personnes – sont exposés à au moins un agent cancérigène (particules Diesel, poussière de bois, silice, arsenic... ) par le biais de leur activité professionnelle. Plombier, agriculteur, ouvrier du BTP, radiologue, mais aussi employés de pressing... 84 % des salariés exposés sont des hommes, souvent jeunes, dont près d'un sur deux (47 %) est ouvrier.
© Andrey Guryanov / 123RF