Une personne LGBTI sur deux "discriminée lors d'un parcours de soin"

Cabinet de médecin généraliste. © NICOLAS MESSYASZ / SIPA
Selon les résultats partiels d'une enquête exploratoire sur la santé globale des lesbiennes, gays, bis, trans et intersexes, menée depuis mars 2017 auprès de 1 147 personnes par l'association "Lutte contre les discriminations" (LCD) des sociologues Arnaud Alessandrin et Johanna Dagorn, au moins une personne LGBTI (Lesbienne, gay, bi, trans, intersexe) sur deux déclare s'être sentie discriminée lors d'un parcours de soins. Des données inédites en France consultées par Libération avant leur présentation en colloque à Bordeaux en janvier 2018, et qui doivent encore être affinées et creusées, mais offrent d'ores et déjà des pistes de réflexion sur la nécessaire amélioration du rapport entre LGBTI et monde de la santé.
Selon les résultats partiels d'une enquête exploratoire sur la santé globale des lesbiennes, gays, bis, trans et intersexes, menée depuis mars 2017 auprès de 1 147 personnes par l'association "Lutte contre les discriminations" (LCD) des sociologues Arnaud Alessandrin et Johanna Dagorn, au moins une personne LGBTI (Lesbienne, gay, bi, trans, intersexe) sur deux déclare s'être sentie discriminée lors d'un parcours de soins. Des données inédites en France consultées par Libération avant leur présentation en colloque à Bordeaux en janvier 2018, et qui doivent encore être affinées et creusées, mais offrent d'ores et déjà des pistes de réflexion sur la nécessaire amélioration du rapport entre LGBTI et monde de la santé.
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