Dans le futur, des "aliments optimisés" pour diminuer les maladies !

Image d'illustration. © tilialucida - stock.adobe.com

Actuellement à l'étude, les "aliments optimisés" visent à injecter dans des aliments de notre quotidien des composés à l'effet protecteur ++ sur notre santé. Voici deux exemples parmi d'autres. A Marseille, au Centre de recherche en cardiovasculaire et nutrition, on travaille à intégrer des micronutriments lipidiques dans des tomates, compotes ou jus de fruit. "Selon plusieurs études, ces composés seraient associés à une diminution du risque de nombreuses maladies : obésité, diabète de type 2..." note auprès de l'Inserm Jean-François Landrier, directeur de recherche INRAE. A Rennes et Nantes, c'est le développement de produits laitiers fermentés "fonctionnalisés" qui a été lancé en septembre 2020 par des équipes de chercheurs, pour réduire maladies inflammatoires et neurodégénératives (projet Prolific).       

Actuellement à l'étude, les "aliments optimisés" visent à injecter dans des aliments de notre quotidien des composés à l'effet protecteur ++ sur notre santé. Voici deux exemples parmi d'autres. A Marseille, au Centre de recherche en cardiovasculaire et nutrition, on travaille à intégrer des micronutriments lipidiques dans des tomates, compotes ou jus de fruit. "Selon plusieurs études, ces composés seraient associés à une diminution du risque de nombreuses maladies : obésité, diabète de type 2..." note auprès de l'Inserm Jean-François Landrier, directeur de recherche INRAE. A Rennes et Nantes, c'est le développement de produits laitiers fermentés "fonctionnalisés" qui a été lancé en septembre 2020 par des équipes de chercheurs, pour réduire maladies inflammatoires et neurodégénératives (projet Prolific).       
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