Au menu demain, des animaux transgéniques sur l'étal du boucher ?

Image d'illustration. © New Africa - stock.adobe.com

Et si on faisait "pousser" les animaux deux fois plus vite pour produire davantage de protéines animales ? Dans les laboratoires, les expériences se multiplient pour créer des animaux génétiquement modifiés dotés de propriétés intéressantes pour l'industrie agroalimentaire. Aux Etats-Unis, les cochons "Enviropig", génétiquement modifiés pour moins polluer, et les saumons "Frankenfish", dont la durée de croissance est réduite de moitié, attendent leur autorisation de mise sur le marché, rapporte Basta Mag. La Chine est également aux avant-postes de la recherche sur la transgenèse animale. En Europe, on se penche sur la pertinence de suivre - ou non - le mouvement, avec une évaluation des risques par l'Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) : créer des animaux porteurs de gènes étrangers à leur espèce n'est pas anodin.

Et si on faisait "pousser" les animaux deux fois plus vite pour produire davantage de protéines animales ? Dans les laboratoires, les expériences se multiplient pour créer des animaux génétiquement modifiés dotés de propriétés intéressantes pour l'industrie agroalimentaire. Aux Etats-Unis, les cochons "Enviropig", génétiquement modifiés pour moins polluer, et les saumons "Frankenfish", dont la durée de croissance est réduite de moitié, attendent leur autorisation de mise sur le marché, rapporte Basta Mag. La Chine est également aux avant-postes de la recherche sur la transgenèse animale. En Europe, on se penche sur la pertinence de suivre - ou non - le mouvement, avec une évaluation des risques par l'Efsa (Autorité européenne de sécurité des aliments) : créer des animaux porteurs de gènes étrangers à leur espèce n'est pas anodin.
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