Prêt entre particuliers : une entraide rémunérée

Le prêt entre particulier permet de récupérer une partie d'une capital dès le mois qui suit. Mais si vous prêtez de l'argent par Internet, ne faites confiance qu'aux sites homologués par la Banque de France pour exercer en France, c'est un gage de sécurité sur la sélection des emprunteurs. © Rui Vale de Sousa - Iznogood - Unclesam - Fotolia

Etre épargnant solidaire cela ne passe pas forcément par un investissement dans un fonds socialement responsable (ISR). Cela peut prendre une forme plus terre à terre : celle d'un prêt accordé à une personne physique. En acceptant de lui prêter une somme d'argent, vous lui demandez de vous dédommager avec le paiement d'un intérêt. C'est ainsi que votre épargne permet à une personne de financer un projet ou de rebondir dans ses finances personnelles. Cet esprit d'entraide connaît un élan décuplé par Internet.

Bien sûr, il ne faut prêter qu'à des personnes que vous connaissez et pour lesquelles vous avez assez garantie pour retrouver votre argent. Si vous souhaitez prêter à une personne inconnue, mieux vaut passer par des plates-formes plutôt qu'en direct. Par exemple, Prêt d'union. Unique en son genre pour le moment, cette plate-forme de prêt entre particuliers agréée par la Banque de France, vous propose de déposer au minimum 1 000 euros et vous décidez votre horizon de placement de 2 à 5 ans. Selon cet horizon, le capital déposé est rémunéré entre 3 et 4,5 % nets des défauts des emprunteurs. Et dès le mois suivant vous recevez la mensualité remboursée. Libre à vous de la remettre à disposition pour un nouveau crédit ou de l'encaisser. A la fin de l'année, l'ensemble des gains perçus est soumis à l'impôt sur le revenu. Un placement peu risqué : le taux de défaut était de 0,3 % à la fin décembre 2012.

Vous pouvez aussi passer par babyloan.org pour aider des particuliers partout dans le monde ou l'Adie pour aider des français à rebondir sur le plan professionnel. Dans tous les cas, n'utilisez que les sites web homologués par l'ACP-Banque de France.

Etre épargnant solidaire cela ne passe pas forcément par un investissement dans un fonds socialement responsable (ISR). Cela peut prendre une forme plus terre à terre : celle d'un prêt accordé à une personne physique. En acceptant de lui prêter une somme d'argent, vous lui demandez de vous dédommager avec le paiement d'un intérêt. C'est ainsi que votre épargne permet à une personne de financer un projet ou de rebondir dans ses finances personnelles. Cet esprit d'entraide connaît un élan décuplé par Internet. Bien sûr, il ne faut prêter qu'à des personnes que vous connaissez et pour lesquelles vous avez assez garantie pour retrouver votre argent. Si vous souhaitez prêter à une personne inconnue, mieux vaut passer par des plates-formes plutôt qu'en direct. Par exemple, Prêt d'union. Unique en son genre pour le moment, cette plate-forme de prêt entre particuliers agréée par la Banque de France, vous propose de déposer au minimum 1 000 euros et vous décidez votre horizon de placement de 2 à 5 ans. Selon cet horizon, le capital déposé est rémunéré entre 3 et 4,5 % nets des défauts des emprunteurs. Et dès le mois suivant vous recevez la mensualité remboursée. Libre à vous de la remettre à disposition pour un nouveau crédit ou de l'encaisser. A la fin de l'année, l'ensemble des gains perçus est soumis à l'impôt sur le revenu. Un placement peu risqué : le taux de défaut était de 0,3 % à la fin décembre 2012. Vous pouvez aussi passer par babyloan.org pour aider des particuliers partout dans le monde ou l'Adie pour aider des français à rebondir sur le plan professionnel. Dans tous les cas, n'utilisez que les sites web homologués par l'ACP-Banque de France.
© Rui Vale de Sousa - Iznogood - Unclesam - Fotolia