Verser une prestation compensatoire

La modalité de versement a des conséquences fiscales parfois méconnues. © Natalia Sinelnik / 123RF
Lors d'un divorce, l'un des conjoints peut être amené à verser une certaine somme d'argent à l'autre en compensation du changement de situation induit par la rupture du mariage. Si ce montant est versé en intégralité dans les 12 mois qui suivent le jugement ou au-delà, une réduction d'impôt de 25% plafonnée à 30 500 euros est possible pour le conjoint qui verse la prestation compensatoire. Sinon, celle-ci est déductible.
"Autrement dit, si la prestation compensatoire est élevée, mieux vaut la verser en plus d'un an et la déduire de vos revenus imposables", recommande Pierre-Emmanuel Guidet, fondateur de Fiscalis. Car la réduction maximale que l'on peut espérer se chiffre à 7 625 euros. Attention, si la prestation compensatoire est déduite, elle devient imposable pour le conjoint bénéficiaire.
Lors d'un divorce, l'un des conjoints peut être amené à verser une certaine somme d'argent à l'autre en compensation du changement de situation induit par la rupture du mariage. Si ce montant est versé en intégralité dans les 12 mois qui suivent le jugement ou au-delà, une réduction d'impôt de 25% plafonnée à 30 500 euros est possible pour le conjoint qui verse la prestation compensatoire. Sinon, celle-ci est déductible. "Autrement dit, si la prestation compensatoire est élevée, mieux vaut la verser en plus d'un an et la déduire de vos revenus imposables", recommande Pierre-Emmanuel Guidet, fondateur de Fiscalis. Car la réduction maximale que l'on peut espérer se chiffre à 7 625 euros. Attention, si la prestation compensatoire est déduite, elle devient imposable pour le conjoint bénéficiaire.
© Natalia Sinelnik / 123RF