Est-ce que ça vaut le coup quand on n'a jamais investi en Bourse ?

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L'Etat souhaite faire de la privatisation de la FDJ, et de son introduction en Bourse, une opération populaire. Mais est-ce judicieux quand on est novice en la matière ? Alexandre Baradez du courtier en ligne IG, met en garde les particuliers qui céderaient à l'argument "affectif", la FDJ étant une entreprise "historique". "C'est le pire argument", estime-t-il. "En matière de Bourse, il faut être froid, rationnel et cartésien : voir combien ça peut rapporter à long terme". 
Alors acheter des actions de la FDJ, pourquoi pas, mais à condition de diversifier. "Le souci avec ce genre d'opération, c'est que des gens qui ne sont jamais allés en Bourse vont acheter, mais ils ne se diversifient pas, ce qui est dangereux puisqu'on est exposé à un risque d'entreprise", alerte Philippe Crevel. "Il faut diversifier". Le président de la F2iC confirme qu'il ne "faut pas mettre ses œufs dans le même panier" et dénonce "un déficit de pédagogie de l'Etat". Mais si on n'y connaît rien, vers quoi doit-on s'orienter ? "Le plus simple reste de prendre des produits qui suivent des indices", indique Alexandre Baradez, qui énumère ainsi le Dow Jones (l'indice historique de Wall Street) et les indices sectoriels (santé, technologie, etc.). 
L'Etat souhaite faire de la privatisation de la FDJ, et de son introduction en Bourse, une opération populaire. Mais est-ce judicieux quand on est novice en la matière ? Alexandre Baradez du courtier en ligne IG, met en garde les particuliers qui céderaient à l'argument "affectif", la FDJ étant une entreprise "historique". "C'est le pire argument", estime-t-il. "En matière de Bourse, il faut être froid, rationnel et cartésien : voir combien ça peut rapporter à long terme".  Alors acheter des actions de la FDJ, pourquoi pas, mais à condition de diversifier. "Le souci avec ce genre d'opération, c'est que des gens qui ne sont jamais allés en Bourse vont acheter, mais ils ne se diversifient pas, ce qui est dangereux puisqu'on est exposé à un risque d'entreprise", alerte Philippe Crevel. "Il faut diversifier". Le président de la F2iC confirme qu'il ne "faut pas mettre ses œufs dans le même panier" et dénonce "un déficit de pédagogie de l'Etat". Mais si on n'y connaît rien, vers quoi doit-on s'orienter ? "Le plus simple reste de prendre des produits qui suivent des indices", indique Alexandre Baradez, qui énumère ainsi le Dow Jones (l'indice historique de Wall Street) et les indices sectoriels (santé, technologie, etc.). 
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