... Et le patronat ?

© ROMUALD MEIGNEUX/SIPA
 "Pour faire cette réforme, il faut un capital politique. Le temps est passé depuis 2017. Pour moi, c'est un débat de la présidentielle, il faut que tous les candidats se positionnent", a fait savoir Geoffroy Roux de Bézieux. "C'est la seule réforme sociale qui touche tout le monde. Elle a donc besoin d'une légitimité démocratique. Par contre, il faudra agir dès septembre 2022, sans attendre". Il a dit refuser une "réforme-rustine en trois mois, sinon il faudra y revenir après la présidentielle".

Ces déclarations n'empêchent toutefois pas le gouvernement de commencer à plancher sur certaines mesures.
 "Pour faire cette réforme, il faut un capital politique. Le temps est passé depuis 2017. Pour moi, c'est un débat de la présidentielle, il faut que tous les candidats se positionnent", a fait savoir Geoffroy Roux de Bézieux. "C'est la seule réforme sociale qui touche tout le monde. Elle a donc besoin d'une légitimité démocratique. Par contre, il faudra agir dès septembre 2022, sans attendre". Il a dit refuser une "réforme-rustine en trois mois, sinon il faudra y revenir après la présidentielle". Ces déclarations n'empêchent toutefois pas le gouvernement de commencer à plancher sur certaines mesures.
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