Une éducation rigide

©  DANILO CERRETI/OLYCOM/SIPA
Les parents Lemercier ont donné une éducation stricte à leurs quatre filles. Dans Psychologies Magazine, elle raconte
"Chez nous, tout était très réglé. Pas question de ne pas être en pyjama à 20h, de ne pas avoir fait son lit au réveil, de ne pas avoir appris ses leçons... La valeur sacrée était le travail ! C'était mon obsession : être libre ! Encore maintenant, j'ai un besoin immense de liberté".

À 18 ans, elle prend son envol pour la capitale : "Mon rêve de théâtre dans la poche et dix billets de 100 francs, je suis venue à Paris et, foutue pour foutue, rapport à mon contrat signé, pour gagner ma vie, j'ai vendu dans les grands magasins pendant des années des parfums, des crèmes et, bien sûr, du maquillage".
(Elle avait signé un contrat avec sa mère "promettant de ne jamais se maquiller").
Les parents Lemercier ont donné une éducation stricte à leurs quatre filles. Dans Psychologies Magazine, elle raconte "Chez nous, tout était très réglé. Pas question de ne pas être en pyjama à 20h, de ne pas avoir fait son lit au réveil, de ne pas avoir appris ses leçons... La valeur sacrée était le travail ! C'était mon obsession : être libre ! Encore maintenant, j'ai un besoin immense de liberté". À 18 ans, elle prend son envol pour la capitale : "Mon rêve de théâtre dans la poche et dix billets de 100 francs, je suis venue à Paris et, foutue pour foutue, rapport à mon contrat signé, pour gagner ma vie, j'ai vendu dans les grands magasins pendant des années des parfums, des crèmes et, bien sûr, du maquillage". (Elle avait signé un contrat avec sa mère "promettant de ne jamais se maquiller").
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