Il ne voulait pas faire de cinéma parlant

© RONALDGRANT/MARY EVANS/SIPA
A la fin des années 1920, le cinéma hollywoodien connaît une des plus grandes avancées de son histoire avec l'avènement du cinéma parlant. Bientôt, de nombreux studios s'engouffrent dans la brèche, convaincus que ce nouveau format attirera encore plus de spectateurs. Charlie Chaplin, quant à lui, traîne la patte. Persuadé que le cinéma muet a encore sa place face au cinéma parlant qui impose un style de tournage plus fixe en raison de la technologie de captation sonore, Chaplin insiste dans le muet. C'est ainsi que sort Les Lumières de la ville en 1931, quatre ans déjà après Le Chanteur de Jazz, considéré comme le premier long-métrage parlant.
A la fin des années 1920, le cinéma hollywoodien connaît une des plus grandes avancées de son histoire avec l'avènement du cinéma parlant. Bientôt, de nombreux studios s'engouffrent dans la brèche, convaincus que ce nouveau format attirera encore plus de spectateurs. Charlie Chaplin, quant à lui, traîne la patte. Persuadé que le cinéma muet a encore sa place face au cinéma parlant qui impose un style de tournage plus fixe en raison de la technologie de captation sonore, Chaplin insiste dans le muet. C'est ainsi que sort Les Lumières de la ville en 1931, quatre ans déjà après Le Chanteur de Jazz, considéré comme le premier long-métrage parlant.
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