"American Psycho" de Bret Easton Ellis

Bret Easton Ellis raconte l'histoire de Patrick Bateman, un pur produit © Annick Liedts

La société de consommation dégénérée et l'Argent

Dans "American Psycho", Bret Easton Ellis met en scène un jeune et riche golden-boy obsédé par son mobilier, ses cartes de visites, les restaurants hypes et bien sûr, chaque détail de son apparence physique.

Sa particularité ? Lorsqu'il ne travaille pas, Patrick Bateman égorge, tue et viole à peu près tout ce qui lui tombe sous la main avec une férocité extrême.

La volonté de puissance de Bateman est sans limite, et il s'en prend en priorité à ceux qu'il considère comme "faibles" : les animaux, les pauvres, les homosexuels, les femmes.

Le Mal est ici insufflé par un capitalisme et une société de consommation totalement dégénérés et obsessionnels. Bret Easton Ellis en fait une représentation à la fois lyrique et grotesque.

La société de consommation dégénérée et l'Argent Dans "American Psycho", Bret Easton Ellis met en scène un jeune et riche golden-boy obsédé par son mobilier, ses cartes de visites, les restaurants hypes et bien sûr, chaque détail de son apparence physique. Sa particularité ? Lorsqu'il ne travaille pas, Patrick Bateman égorge, tue et viole à peu près tout ce qui lui tombe sous la main avec une férocité extrême. La volonté de puissance de Bateman est sans limite, et il s'en prend en priorité à ceux qu'il considère comme "faibles" : les animaux, les pauvres, les homosexuels, les femmes. Le Mal est ici insufflé par un capitalisme et une société de consommation totalement dégénérés et obsessionnels. Bret Easton Ellis en fait une représentation à la fois lyrique et grotesque.
© Annick Liedts