"C'est pas ce qui nous arrêtera"

La grande roue de Coachella en 2017 © Amy Harris/AP/SIPA
Après l'annulation de PNL à Coachella, la déception est grande. Le prestigieux festival californien, parmi les plus populaires du monde, aurait offert au duo de Corbeil-Essonnes une visibilité décuplée, particulièrement aux États-Unis. C'est avec amertume qu'Ademo et N.O.S avaient fait part de la nouvelle de la suppression de leur concert sur les réseaux sociaux. "Bon les chicos chicas, après de nombreux efforts nous ne pourrons pas jouer au festival Coachella. Le visa a été refusé par les autorités américaines ce mardi matin. Nous avions pris la décision de jouer quoi qu'il arrive, N.O.S sur place et Ademo depuis la France retransmis en direct sur les écrans de la scène. Mais les organisateurs de ce festival en ont décidé autrement. C'est pas ce qui nous arrêtera, au contraire cela nous donne encore plus d'ambition. On continue à charbonner pour nos fans et on remercie encore ceux qui se sont déplacés !", écrivaient à l'époque les rappeurs sur leur page Facebook.
Après l'annulation de PNL à Coachella, la déception est grande. Le prestigieux festival californien, parmi les plus populaires du monde, aurait offert au duo de Corbeil-Essonnes une visibilité décuplée, particulièrement aux États-Unis. C'est avec amertume qu'Ademo et N.O.S avaient fait part de la nouvelle de la suppression de leur concert sur les réseaux sociaux. "Bon les chicos chicas, après de nombreux efforts nous ne pourrons pas jouer au festival Coachella. Le visa a été refusé par les autorités américaines ce mardi matin. Nous avions pris la décision de jouer quoi qu'il arrive, N.O.S sur place et Ademo depuis la France retransmis en direct sur les écrans de la scène. Mais les organisateurs de ce festival en ont décidé autrement. C'est pas ce qui nous arrêtera, au contraire cela nous donne encore plus d'ambition. On continue à charbonner pour nos fans et on remercie encore ceux qui se sont déplacés !", écrivaient à l'époque les rappeurs sur leur page Facebook.
© Amy Harris/AP/SIPA