Le fiasco PNL à Rock en Seine

Un concert décevant pour le duo en 2018 © SADAKA EDMOND/SIPA
Après avoir été programmés (puis annulés) à Coachella en 2017, Ademo et N.O.S se hissent en tête d'affiche d'un festival français cette fois : Rock en Seine, en 2018. Premier groupe de rap français à avoir son nom en grosse lettre de l'événement parisien, PNL était très attendu. Tout ne s'est pas passé comme prévu. Surtout pour le public. Pour leur seul concert de l'été 2018, les deux rappeurs assuraient le dernier show du vendredi 24 août, sur la grande scène. Mais au bout de près d'une demi-heure d'attente (soit à 23h43), la foule venue applaudir PNL s'impatiente. Et se disperse, jusqu'à n'être composée que de très peu de personnes, une rareté pour un concert de tête d'affiche à Rock en Seine. Sur les planches, Ademo et N.O.S, toujours cachés derrière leur vocodeur, s'avancent entourés d'une vingtaine de membres de "leur famille", devant un public déçu, à en croire les commentaires de festivaliers toujours visibles sur Twitter.
Après avoir été programmés (puis annulés) à Coachella en 2017, Ademo et N.O.S se hissent en tête d'affiche d'un festival français cette fois : Rock en Seine, en 2018. Premier groupe de rap français à avoir son nom en grosse lettre de l'événement parisien, PNL était très attendu. Tout ne s'est pas passé comme prévu. Surtout pour le public. Pour leur seul concert de l'été 2018, les deux rappeurs assuraient le dernier show du vendredi 24 août, sur la grande scène. Mais au bout de près d'une demi-heure d'attente (soit à 23h43), la foule venue applaudir PNL s'impatiente. Et se disperse, jusqu'à n'être composée que de très peu de personnes, une rareté pour un concert de tête d'affiche à Rock en Seine. Sur les planches, Ademo et N.O.S, toujours cachés derrière leur vocodeur, s'avancent entourés d'une vingtaine de membres de "leur famille", devant un public déçu, à en croire les commentaires de festivaliers toujours visibles sur Twitter.
© SADAKA EDMOND/SIPA