La lente démarche du fourmilier

L'un des points les plus importants de l'étude réalisée par le docteur Ahumada, c'est qu'elle démontre que toutes les espèces ne sont pas sensibles de la même manière à la dégradation de leur écosystème. Les fourmiliers, comme ce tamandua observé au Costa Rica, semblent plus vulnérables et disparaissent les premiers. Il est probable que ce soit dû à leur nourriture, essentiellement des insectes, souvent les principaux touchés lorsque le milieu naturel est dévasté.
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