Une attraction touristique

La vue imprenable sur New York depuis le 86e étage de l'Empire State Building. © Chantal Thouverez

Depuis son inauguration par le président Herbert Hoover le 1er mai 1931, à l'ouverture des tours du World Trade Center en 1972,  l'Empire State Building était le plus haut gratte-ciel du monde. Sa plateforme d'observation au 86e étage voit défiler entre 10 et 20 000 personnes chaque jour. Les visiteurs, qui grimpent les étages grâce à un des 76 ascenseurs ultra rapides, bénéficient d'une vue à 360° sur Manhattan et sa région depuis la terrasse qui se trouve à 320 m d'altitude. Une deuxième plateforme, au 102e étage, plus petite accueille également les curieux. Par beau temps, on peut voir à 130 km à la ronde. A l'origine, le haut de l'Empire State Building était surmonté d'un mât pour accrocher des dirigeables, la terrasse étant prévue pour l'embarquement des passagers. Mais un seul dirigeable s'y est arrêté le 16 septembre 1931 car après plusieurs essais dangereux, le système a été abandonné. L'antenne de télévision du building a été ajoutée en 1952.

Depuis son inauguration par le président Herbert Hoover le 1er mai 1931, à l'ouverture des tours du World Trade Center en 1972,  l'Empire State Building était le plus haut gratte-ciel du monde. Sa plateforme d'observation au 86e étage voit défiler entre 10 et 20 000 personnes chaque jour. Les visiteurs, qui grimpent les étages grâce à un des 76 ascenseurs ultra rapides, bénéficient d'une vue à 360° sur Manhattan et sa région depuis la terrasse qui se trouve à 320 m d'altitude. Une deuxième plateforme, au 102e étage, plus petite accueille également les curieux. Par beau temps, on peut voir à 130 km à la ronde. A l'origine, le haut de l'Empire State Building était surmonté d'un mât pour accrocher des dirigeables, la terrasse étant prévue pour l'embarquement des passagers. Mais un seul dirigeable s'y est arrêté le 16 septembre 1931 car après plusieurs essais dangereux, le système a été abandonné. L'antenne de télévision du building a été ajoutée en 1952.
© Chantal Thouverez