Un monument populaire

L'Empire State Building a été représenté à de nombreuses reprises dans le cinéma et la littérature. ©  Hervé Lemoine

On estime à 110 millions le nombre de personnes qui ont visité l'Empire State Building depuis son ouverture au public. Parmi eux, de prestigieuses personnalités comme la Reine Elizabeth II, Fidel Castro ou encore le footballeur Pelé. Le gratte-ciel, qui a très vite passionné les foules, est présent dans des centaines de publicités et de films; le plus célèbre étant le King Kong de 1933. Les cinéphiles ont pu également le contempler dans Superman, Taxi Driver ou plus récemment Independance Day. Le building fait l'objet d'un véritable culte avec des jouets et des cartes postales à son effigie. Son sommet, illuminé depuis 1932, possède depuis 1976 un éclairage en couleurs. En 1984, son antenne lumineuse se colore à son tour lors d'événements particuliers. Rouge par exemple pour le 60e anniversaire de la République communiste chinoise. Après le 11 septembre 2001, le bâtiment retrouve un regain d'intérêt des touristes pour son panorama unique. 

On estime à 110 millions le nombre de personnes qui ont visité l'Empire State Building depuis son ouverture au public. Parmi eux, de prestigieuses personnalités comme la Reine Elizabeth II, Fidel Castro ou encore le footballeur Pelé. Le gratte-ciel, qui a très vite passionné les foules, est présent dans des centaines de publicités et de films; le plus célèbre étant le King Kong de 1933. Les cinéphiles ont pu également le contempler dans Superman, Taxi Driver ou plus récemment Independance Day. Le building fait l'objet d'un véritable culte avec des jouets et des cartes postales à son effigie. Son sommet, illuminé depuis 1932, possède depuis 1976 un éclairage en couleurs. En 1984, son antenne lumineuse se colore à son tour lors d'événements particuliers. Rouge par exemple pour le 60e anniversaire de la République communiste chinoise. Après le 11 septembre 2001, le bâtiment retrouve un regain d'intérêt des touristes pour son panorama unique. 
©  Hervé Lemoine