Les frères Tuilagi

Henry et Alesana Tuilagi. © Jean-Luc Bobin / Sabrina Conforti

Dans la famille Tuilagi, il y a 7 fils dont 6 sont professionnels de rugby. Originaires des îles Samoa, dans le Pacifique Sud, ils ont tous un point commun : un physique hors norme.

L'aîné, c'est Feretti (1m80, 102 kg) aujourd'hui à la retraite après avoir joué en Angleterre à Leicester. Ensuite, on trouve Henry (1m85, 135 kg), qui lui évolue à Perpignan. Puis vient Alesana (1m85, 113 kg), lui aussi à Leicester, et Anitele'a (1m85, 96 kg), lui, à Sale.
Les deux derniers Sanele (1m94, 101 kg), qui joue dans une équipe samoanne et le "petit" dernier Manu (1m85, 105 kg), toujours à Leicester, ne sont pas encore internationaux contrairement à leurs aînés.  

Avec leur carrure et leur puissance, les Tuilagi se remarquent sur un terrain. C'est qu'ils ont de qui tenir. Leur père est un grand chef traditionnel de l'archipel du Pacifique Sud. Il était, dans sa jeunesse, champion de boxe des poids lourds et a notamment servi de sparring partner à Mohamed Ali. Pour les repas de famille, mieux vaut prévoir large pour pouvoir tous les nourrir.
Dans la famille Tuilagi, il y a 7 fils dont 6 sont professionnels de rugby. Originaires des îles Samoa, dans le Pacifique Sud, ils ont tous un point commun : un physique hors norme. L'aîné, c'est Feretti (1m80, 102 kg) aujourd'hui à la retraite après avoir joué en Angleterre à Leicester. Ensuite, on trouve Henry (1m85, 135 kg), qui lui évolue à Perpignan. Puis vient Alesana (1m85, 113 kg), lui aussi à Leicester, et Anitele'a (1m85, 96 kg), lui, à Sale. Les deux derniers Sanele (1m94, 101 kg), qui joue dans une équipe samoanne et le "petit" dernier Manu (1m85, 105 kg), toujours à Leicester, ne sont pas encore internationaux contrairement à leurs aînés.   Avec leur carrure et leur puissance, les Tuilagi se remarquent sur un terrain. C'est qu'ils ont de qui tenir. Leur père est un grand chef traditionnel de l'archipel du Pacifique Sud. Il était, dans sa jeunesse, champion de boxe des poids lourds et a notamment servi de sparring partner à Mohamed Ali. Pour les repas de famille, mieux vaut prévoir large pour pouvoir tous les nourrir.
© Jean-Luc Bobin / Sabrina Conforti