Howard Webb reconnaît ses erreurs

En 2010, Howard Webb a été le premier arbitre a enchaîner la finale de la Ligue des champions et la finale de la Coupe du monde. © SIPANY/SIPA

Lorsqu'un arbitre fait une erreur, les conséquences peuvent être grandes. Howard Webb le sait mieux que quiconque.  

En 2008, pendant l'Euro, il se distingue lors du match Autriche-Pologne en accordant un penalty controversé qui permet la victoire autrichienne. Cette erreur cause un profond émoi chez les Polonais. Webb est menacé de mort, des clips appelant à le lyncher sont diffusés sur le net et même le Premier ministre explique avoir eu envie de le tuer. Il reçoit des menaces jusqu'à son domicile anglais, et des lettres insultantes arrivent même chez ses parents. Il envisage d'arrêter sa carrière mais grâce au soutien de l'UEFA et de ses collègues, il reprend vite le sifflet. 

En 2010, il arbitre de la finale de la Coupe du monde Espagne-Hollande en Afrique du Sud. Après le match, il avoue avoir commis une erreur en n'excluant pas les Néerlandais Nigel de Jong et Marc Van Bommel pour leurs gestes dangereux. Une erreur sans conséquences puisque c'est bien les Espagnols qui sont devenus champion du monde.

Lorsqu'un arbitre fait une erreur, les conséquences peuvent être grandes. Howard Webb le sait mieux que quiconque.   En 2008, pendant l'Euro, il se distingue lors du match Autriche-Pologne en accordant un penalty controversé qui permet la victoire autrichienne. Cette erreur cause un profond émoi chez les Polonais. Webb est menacé de mort, des clips appelant à le lyncher sont diffusés sur le net et même le Premier ministre explique avoir eu envie de le tuer. Il reçoit des menaces jusqu'à son domicile anglais, et des lettres insultantes arrivent même chez ses parents. Il envisage d'arrêter sa carrière mais grâce au soutien de l'UEFA et de ses collègues, il reprend vite le sifflet.  En 2010, il arbitre de la finale de la Coupe du monde Espagne-Hollande en Afrique du Sud. Après le match, il avoue avoir commis une erreur en n'excluant pas les Néerlandais Nigel de Jong et Marc Van Bommel pour leurs gestes dangereux. Une erreur sans conséquences puisque c'est bien les Espagnols qui sont devenus champion du monde.
© SIPANY/SIPA