Fabrice Fiorèse et la simulation de trop

C'est à Troyes que Fabrice Fiorèse terminera sa carrière en 2009 après être passé par le PSG et l'OM. © NIVIERE/SIPA

En 2002, Fabrice Fiorèse est un des piliers du PSG version Luis Fernandez. Le 19 décembre, le club de la capitale reçoit les Girondins de Bordeaux et "Fio" va faire le spectacle.

Lancé en profondeur dans la surface de réparation, l'attaquant fait croire à un contact avec un défenseur et s'écroule. Penalty. En se relevant, il en rajoute encore simulant un mauvais geste du bordelais qui se fait expulser. Les images passent alors en boucle à la télévision et la France du foot s'empresse de condamner son attitude.

Devant les images Fiorèse n'a d'autre choix que d'avouer. Convoqué devant la commission de discipline de la Ligue de Football Professionnel, il écope de trois matchs de suspension. Une grande première pour une simulation.

Détesté par la France entière et régulièrement insulté sur tous les stades de l'Hexagone, Fiorèse se fâchera aussi avec les supporters parisiens en partant pour l'Olympique de Marseille à quelques heures de la fin du marché des transferts.

En 2002, Fabrice Fiorèse est un des piliers du PSG version Luis Fernandez. Le 19 décembre, le club de la capitale reçoit les Girondins de Bordeaux et "Fio" va faire le spectacle. Lancé en profondeur dans la surface de réparation, l'attaquant fait croire à un contact avec un défenseur et s'écroule. Penalty. En se relevant, il en rajoute encore simulant un mauvais geste du bordelais qui se fait expulser. Les images passent alors en boucle à la télévision et la France du foot s'empresse de condamner son attitude. Devant les images Fiorèse n'a d'autre choix que d'avouer. Convoqué devant la commission de discipline de la Ligue de Football Professionnel, il écope de trois matchs de suspension. Une grande première pour une simulation. Détesté par la France entière et régulièrement insulté sur tous les stades de l'Hexagone, Fiorèse se fâchera aussi avec les supporters parisiens en partant pour l'Olympique de Marseille à quelques heures de la fin du marché des transferts.
© NIVIERE/SIPA