Le col de Peyresourde

La deuxième partie de l'ascension se fait avec une pente à 8.1 %. Dur, dur ! © André Pommiès

Le col de Peyresourde est aussi mythique qu'éprouvant. La route vers le sommet comporte de nombreuses lignes droites un peu dures à encaisser...
Au départ de Bagnères de Luchon, la première grosse difficulté apparaît après le pont de Debach, avec un 8 % à gravir. Si vous êtes un peu essoufflé et que vous souhaitez vous arrêter, faites-le à Saint-Aventin, au bout de 5.4 km, où vous pouvez visiter une belle église. 1.5 km plus loin commence la 2e moitié de parcours, particulièrement longue, avec une pente moyenne de 8.1 %. Après Portet-de-Luchon, on trouve 3 lacets vers la fin de l'ascension qui, malgré la raideur toujours aussi fatigante, apporte quelques ombres salvatrices et un superbe panorama.
En gascon, Peyresourde signifie "la pierre qui jaillit".

Le col de Peyresourde est aussi mythique qu'éprouvant. La route vers le sommet comporte de nombreuses lignes droites un peu dures à encaisser...Au départ de Bagnères de Luchon, la première grosse difficulté apparaît après le pont de Debach, avec un 8 % à gravir. Si vous êtes un peu essoufflé et que vous souhaitez vous arrêter, faites-le à Saint-Aventin, au bout de 5.4 km, où vous pouvez visiter une belle église. 1.5 km plus loin commence la 2e moitié de parcours, particulièrement longue, avec une pente moyenne de 8.1 %. Après Portet-de-Luchon, on trouve 3 lacets vers la fin de l'ascension qui, malgré la raideur toujours aussi fatigante, apporte quelques ombres salvatrices et un superbe panorama. En gascon, Peyresourde signifie "la pierre qui jaillit".
© André Pommiès