Georges Marchais, le mécanicien communiste

Georges Marchais, sur le plateau de "Cartes sur table", en 1977.

Georges Marchais, ancien secrétaire général du Parti communiste français décédé en 1997, fait partie de ces quelques politiques nationaux qui n'ont pas décroché le précieux sésame de l'Education nationale. 

Mécanicien à l'usine

Bien avant de diriger le PCF, entre 1972 et 1994, Georges Marchais avait débuté sa carrière en tant que mécanicien ajusteur dans l'usine aéronautique Voisin, à Issy-les-Moulineaux, à côté de Paris. Et, durant la guerre, l'ouvrier et futur homme politique avait également travaillé en Allemagne, à Augsburg. C'est son engagement syndicaliste après la guerre qui lui permettra de réussir la transition entre la mécanique et la politique.

Georges Marchais, ancien secrétaire général du Parti communiste français décédé en 1997, fait partie de ces quelques politiques nationaux qui n'ont pas décroché le précieux sésame de l'Education nationale.  Mécanicien à l'usine Bien avant de diriger le PCF, entre 1972 et 1994, Georges Marchais avait débuté sa carrière en tant que mécanicien ajusteur dans l'usine aéronautique Voisin, à Issy-les-Moulineaux, à côté de Paris. Et, durant la guerre, l'ouvrier et futur homme politique avait également travaillé en Allemagne, à Augsburg. C'est son engagement syndicaliste après la guerre qui lui permettra de réussir la transition entre la mécanique et la politique.