Henri Emmanuelli dans les Landes

Henri Emmanuelli © Cécile Debise/L'Internaute

Les résultats (27/03/2011)

Après un premier tour tonitruant, la gauche dans son ensemble perd près de 10 points à l'issue du second tour dans les Landes (de 68 à 58 %). Une très forte secousse qui devrait ébranler mais pas renverser la présidence et Henri Emmanuelli. Les résultats

Le contexte (15/03/2011)

La gauche du PS, représentée par le courant "Un monde d'avance", est dans l'incertitude. Tout en soutenant Martine Aubry pour la primaire socialiste, il va bientôt lui falloir décider que faire en cas de candidature de Dominique Strauss-Kahn : rallier au prix d'un énorme sacrifice le directeur du FMI ou présenter une candidature dissidente (Benoît Hamon ?), au risque de briser l'unité. C'est sans doute pétri de ces questionnements qu'Henri Emmanuelli aborde les cantonales dans les Landes. Car la bataille locale ne devrait pas plus l'inquiéter : président du conseil général depuis 1982 (!), il devrait facilement être reconduit dans ses fonctions après les élections des 20 et 27 mars. Son siège de conseiller général n'est pas renouvelable et il dispose par avance de 26 élus dans sa majorité contre 4 seulement dans l'opposition.

Les résultats (27/03/2011) Après un premier tour tonitruant, la gauche dans son ensemble perd près de 10 points à l'issue du second tour dans les Landes (de 68 à 58 %). Une très forte secousse qui devrait ébranler mais pas renverser la présidence et Henri Emmanuelli. Les résultatsLe contexte (15/03/2011) La gauche du PS, représentée par le courant "Un monde d'avance", est dans l'incertitude. Tout en soutenant Martine Aubry pour la primaire socialiste, il va bientôt lui falloir décider que faire en cas de candidature de Dominique Strauss-Kahn : rallier au prix d'un énorme sacrifice le directeur du FMI ou présenter une candidature dissidente (Benoît Hamon ?), au risque de briser l'unité. C'est sans doute pétri de ces questionnements qu'Henri Emmanuelli aborde les cantonales dans les Landes. Car la bataille locale ne devrait pas plus l'inquiéter : président du conseil général depuis 1982 (!), il devrait facilement être reconduit dans ses fonctions après les élections des 20 et 27 mars. Son siège de conseiller général n'est pas renouvelable et il dispose par avance de 26 élus dans sa majorité contre 4 seulement dans l'opposition.
© Cécile Debise/L'Internaute