Jacques Peyrat dans les Alpes-Maritimes

Jacques Peyrat © Sénat

Les résultats (27/03/2011)

Malgré un score du FN très important dans le département, Jacques Peyrat a été éliminé dès le premier tour à Nice avec seulement 21,35 %. Dominique Estrosi s'impose de justesse au second tour à Nice. La majorité d'Eric Ciotti n'est pas menacée. Les résultats

Le contexte (15/03/2011)

L'UMP n'a rien à craindre dans les Alpes-Maritimes, tenues par Eric Ciotti, lieutenant de Christian Estrosi à qui il a succédé à la tête du département. Mais les cantonales seront tout de même très surveillées dans le 14e canton de Nice. Vexé d'avoir été évincé à la l'hôtel de ville par Christian Estrosi aux municipales de 2008, l'ancien maire Jacques Peyrat est candidat. Et pas face à n'importe qui : il affrontera une certaine Dominique Estrosi-Sassonne qui n'est autre que l'ex-épouse de l'actuel maire. Et il y a pire. Dissident de l'UMP, Jacques Peyrat renoue par la même occasion avec ses anciens amis du Front national, qui le soutiennent dans cette campagne. De quoi faire mal à la fois à l'UMP, à Dominique et à Christian Estrosi avec d'autres échéances : la présidentielle 2012 et surtout les municipales en 2014.

Les résultats (27/03/2011) Malgré un score du FN très important dans le département, Jacques Peyrat a été éliminé dès le premier tour à Nice avec seulement 21,35 %. Dominique Estrosi s'impose de justesse au second tour à Nice. La majorité d'Eric Ciotti n'est pas menacée. Les résultatsLe contexte (15/03/2011) L'UMP n'a rien à craindre dans les Alpes-Maritimes, tenues par Eric Ciotti, lieutenant de Christian Estrosi à qui il a succédé à la tête du département. Mais les cantonales seront tout de même très surveillées dans le 14e canton de Nice. Vexé d'avoir été évincé à la l'hôtel de ville par Christian Estrosi aux municipales de 2008, l'ancien maire Jacques Peyrat est candidat. Et pas face à n'importe qui : il affrontera une certaine Dominique Estrosi-Sassonne qui n'est autre que l'ex-épouse de l'actuel maire. Et il y a pire. Dissident de l'UMP, Jacques Peyrat renoue par la même occasion avec ses anciens amis du Front national, qui le soutiennent dans cette campagne. De quoi faire mal à la fois à l'UMP, à Dominique et à Christian Estrosi avec d'autres échéances : la présidentielle 2012 et surtout les municipales en 2014.
© Sénat