Maurice Leroy dans le Loir-et-Cher

Maurice Leroy © Marie Lan Nguyen

Les résultats (27/03/2011)

Avec deux élus dès le premier tour et plusieurs ballotages favorables, Maurice Leroy devait conserver sa majorité : c'est fait à l'issue du second tour avec au moins trois sièges d'avance. Les résultats

Le contexte (15/03/2011)

Entré au gouvernement en novembre 2010, Maurice Leroy constituait une prise de choix pour Nicolas Sarkozy. Ce dernier privait ainsi Hervé Morin d'un député clé du Nouveau centre et donnait en même temps un (petit) gage aux centristes, malgré l'éviction de Jean-Louis Borloo. Depuis, le ministre de la Ville a frappé un grand coup en débloquant le dossier du Grand Paris, grâce à un accord entre l'Etat et la région Ile-de-France. Un autre territoire devrait désormais monopoliser son attention. Car Maurice Leroy est aussi le président du conseil général du Loir-et-Cher depuis 2004. Alors que son canton n'est pas concerné par l'élection, il devrait, sauf vote "sanction" contre le gouvernement, être reconduit dans ses fonctions. Un seul canton en effet est susceptible de basculer à gauche en mars alors que sa majorité compte six sièges d'avance.

Les résultats (27/03/2011) Avec deux élus dès le premier tour et plusieurs ballotages favorables, Maurice Leroy devait conserver sa majorité : c'est fait à l'issue du second tour avec au moins trois sièges d'avance. Les résultatsLe contexte (15/03/2011) Entré au gouvernement en novembre 2010, Maurice Leroy constituait une prise de choix pour Nicolas Sarkozy. Ce dernier privait ainsi Hervé Morin d'un député clé du Nouveau centre et donnait en même temps un (petit) gage aux centristes, malgré l'éviction de Jean-Louis Borloo. Depuis, le ministre de la Ville a frappé un grand coup en débloquant le dossier du Grand Paris, grâce à un accord entre l'Etat et la région Ile-de-France. Un autre territoire devrait désormais monopoliser son attention. Car Maurice Leroy est aussi le président du conseil général du Loir-et-Cher depuis 2004. Alors que son canton n'est pas concerné par l'élection, il devrait, sauf vote "sanction" contre le gouvernement, être reconduit dans ses fonctions. Un seul canton en effet est susceptible de basculer à gauche en mars alors que sa majorité compte six sièges d'avance.
© Marie Lan Nguyen