La raie

La raie fait partie des poissons à "taux moyen de mercure". © Shao Chun Wang / 123RF
La raie peut se consommer mais de façon modérée, puisqu'elle contient un "taux moyen de mercure" : une portion par semaine. Comme tous les poissons prédateurs, elle vit plus longtemps, ce qui lui laisse plus de temps pour accumuler le méthylmercure, forme de mercure la plus toxique. Dans la même famille d'espèces au taux de mercure mitigé, il y a "le bar, le brochet, le flétan, le sandre", a confié à 20 Minutes le cuisinier écolo Lionel Goumy, auteur d'une étude sur la consommation de poisson. Nous y ajouterons le brochet, la lotte et la bonite. Des espèces à distinguer, donc, du requin et de l'espadon, qui concentrent, elles, un taux de toxicité au mercure record.
La raie peut se consommer mais de façon modérée, puisqu'elle contient un "taux moyen de mercure" : une portion par semaine. Comme tous les poissons prédateurs, elle vit plus longtemps, ce qui lui laisse plus de temps pour accumuler le méthylmercure, forme de mercure la plus toxique. Dans la même famille d'espèces au taux de mercure mitigé, il y a "le bar, le brochet, le flétan, le sandre", a confié à 20 Minutes le cuisinier écolo Lionel Goumy, auteur d'une étude sur la consommation de poisson. Nous y ajouterons le brochet, la lotte et la bonite. Des espèces à distinguer, donc, du requin et de l'espadon, qui concentrent, elles, un taux de toxicité au mercure record.
© Shao Chun Wang / 123RF