Faut-il assurer ses moyens de paiement ?

En cas de vol de la carte bancaire, les banques peuvent facturer des frais de refabrication.

En cas de perte ou de vol d'un moyen de paiement, le premier réflexe est de contacter sa banque pour faire opposition. Cette procédure permet d'éviter qu'il soit utilisé et vos comptes prélevés de sommes que vous n'avez pas dépensées.

Si pour un prélèvement ou une carte bancaire la gratuité est quasi assurée, pour une opposition, sur un chèque ou un chéquier, les banques appliquent des frais. Pour les couvrir, il existe une assurance des moyens de paiement. Elle permet une prise en charge des sommes prélevées sur votre compte entre le moment où a eu lieu la perte ou le vol et celui où vous faites opposition.

Cette assurance est parfois incluse à la convention de compte, mais pas toujours. En ce dernier cas, il faut débourser près de trente euros. Pour rendre la dépense utile, la garantie prend aussi en charge les frais de refabrication du moyen de paiement et des papiers d'identité mais le montant accordé est plafonné.

En cas de perte ou de vol d'un moyen de paiement, le premier réflexe est de contacter sa banque pour faire opposition. Cette procédure permet d'éviter qu'il soit utilisé et vos comptes prélevés de sommes que vous n'avez pas dépensées. Si pour un prélèvement ou une carte bancaire la gratuité est quasi assurée, pour une opposition, sur un chèque ou un chéquier, les banques appliquent des frais. Pour les couvrir, il existe une assurance des moyens de paiement. Elle permet une prise en charge des sommes prélevées sur votre compte entre le moment où a eu lieu la perte ou le vol et celui où vous faites opposition. Cette assurance est parfois incluse à la convention de compte, mais pas toujours. En ce dernier cas, il faut débourser près de trente euros. Pour rendre la dépense utile, la garantie prend aussi en charge les frais de refabrication du moyen de paiement et des papiers d'identité mais le montant accordé est plafonné.
© Guillaume DURIS / Mipan - Fotolia