La crise du logement a plusieurs aspects. Au-delà des prix de vente de l'ancien qui ont atteint des sommets et à présent fléchissent, la demande de logement en zone urbaine reste élevée. Et le contrôle des loyers n'empêchent pas que ces derniers puissent progresser. Si bien qu'un placement dans l'immobilier locatif reste une piste sérieuse pour obtenir des revenus réguliers, et ce sans tenir compte des dispositifs immobiliers défiscalisés. En optimisant l'utilisation du déficit foncier, en choisissant une bonne localisation et en prenant quelques garanties pour éviter des loyers impayés (un phénomène qui touche moins de 3 % des logements loués), l'immobilier locatif s'avère un placement de bon père de famille avec des rentrées d'argent régulières et réelles. Et si vous souhaitez une forte visibilité sur votre investissement avec un minimum de contraintes, les résidences de services (maison de retraite, EPHAD, résidence étudiante...) peuvent être une solution à condition de bien contrôler la viabilité du projet retenu et sa localisation. Quelques affaires en jugement montrent qu'il ne faut pas investir à l'aveugle.
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