C'est l'option qui a souvent été mise en avant par le gouvernement. Lors d'un colloque sur le thème de l'épargne organisé par la Caisse des dépôts en octobre 2019, le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, avait appelé les assureurs à développer les nouveaux contrats d'épargne dits "eurocroissance", afin de "fournir une alternative aux fonds euros". Ces contrats présentent des rendements supérieurs aux fonds euros. Le capital y est garanti, à condition de respecter un délai de détention d'au moins huit ans. Ils sont toutefois jugés, aujourd'hui encore, trop complexes et peu lisibles pour les épargnants. Les taux en 2018 étaient quasi-nuls. En 2019, ils se révélaient plus performants, à 1,48%.
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